Le titre fait référence a l’idée que ce travail n’est qu’un des possibles résultats a obtenir des procédures et des matériaux utilisés dans sa création. Il fait également une référence indirecte au poème “Altazor” (1919) écrit par le poète avant-gardiste Vicente Huidobro.
Le travail explore le paradoxe de différentes structures qui arrivent a se cacher par accumulation, normalement contradictoires entre eux, de sorte que ce qui on obtient comme résultat est simplement construit par les restes fragmentaires des forces impliquées.
Interalia a été écrit pour le Centre Acanthes 2010, et est dédié à James Dillon, avec gratitude et admiration, à l’occasion de son 60ème anniversaire.

The title refers to the fact that this work is just one among many possible outcomes of the procedures and materials used in its creation. It also makes an oblique reference to the poem “Altazor” (1919) by the avant-gard poet Vicente Huidobro.
The work explores the paradox of several structures that conceal themselves by accumulation, often contradicting one another, so that what remains as the finished work is just constituted by fragmentary remnants of the poietic forces involved.
Interalia was composed for the Centre Acanthes 2010, and is dedicated to James Dillon, with gratitude and admiration, on the occasion of his 60th birthday.