Le rapport du musicien aux sons des haut-parleurs s'inverse : désormais la machine se plie au temps du musicien. Ainsi, pour le musicien, la gestion temporelle redevient libre et une souplesse est réintégrée, qui est celle de l'interprétation. Pour le compositeur, une véritable écriture électronique peut ainsi se mettre en place, plus ou moins voisine d'une écriture orchestrale.