\r\nLa première génération qui entre de plein droit dans la base est donc celle constituée par John Cage, Olivier Messiaen ou encore Elliott Carter.\r\n\u003C/p>\r\n\r\n\u003Ch3>Contenus\u003C/h3>\r\n\r\n\u003Cp style=\"text-align: justify;\">\r\nLes données sont progressivement mises à jour depuis juillet 2007, en remplacement de celles de l’ancienne version de la base, développée entre 1996 et 2001 par Marc Texier. L’information peut donc être incomplète pour certains compositeurs non encore traités : dans ce cas l’indication « ! Informations antérieures à 2002 » apparaît en haut de page. Pour tous les autres documents, la date de dernière mise à jour est indiquée en haut de page.\r\n\u003C/p>\r\n\r\n\u003Ch3>Mises à jour et nouvelles entrées\u003C/h3>\r\n\r\n\r\n\u003Cp style=\"text-align: justify;\">Les mises à jour se font compositeur par compositeur. Pour un compositeur donné, sont systématiquement revus ou créés les documents suivants :\r\n\u003C/p>\r\n\u003Cul style=\"text-align: justify;\">\r\n \u003Cli>la biographie\u003C/li>\r\n \u003Cli>le catalogue exhaustif de ses œuvres (y compris, si possible, les œuvres disparues, retirées ou posthumes)\u003C/li>\r\n \u003Cli>une liste de ressources bibliographiques, discographiques et internet,\u003C/li>\r\n \u003Cli>des éventuels documents attachés (Parcours de l’œuvre, interviews, analyses, notes de programme etc.)\u003C/li>\r\n\u003C/ul>\r\n\u003Cp style=\"text-align: justify;\">\r\nLa définition des priorités de mises à jour et nouvelles entrées des compositeurs s’opèrent suivant une méthodologie basée sur l’observation de la vie culturelle européenne :\r\n\u003C/p>\r\n\u003Cul style=\"text-align: justify;\">\r\n \u003Cli>Avant chaque saison, nous relevons les programmations à venir des principaux festivals, institutions et ensembles musicaux européens investis dans le domaine de la création musicale. Cette observation s’opère par cercles concentriques en partant de l’activité propre de l’Ircam (année n-2), puis de celle des partenaires privilégiés (année n-1) jusqu’aux grandes institutions et festivals européens de création (année n) ;\u003C/li>\r\n \u003Cli>Chaque compositeur est crédité de points en fonction de l’importance et de l’intensité de l’activité musicale le concernant. Ce classement permet de définir les priorités pour chaque trimestre ;\u003C/li>\r\n \u003Cli>Si un compositeur n’a pas obtenu assez de points pour figurer dans les priorités, il cumule ceux-ci sur le trimestre suivant ; et ainsi remonte progressivement dans la liste des priorités.\u003C/li>\r\n \u003Cli>Une fois mis à jour, les documents attachés à un compositeur sont valables trois ans, après lesquels le processus décrit ci-dessus reprend.\u003C/li>\r\n\u003C/ul>\t\r\n\r\n\u003Ch3>Erreurs ou omissions\u003C/h3>\t\r\n\t\t\t\t\r\n\u003Cp style=\"text-align: justify;\">\r\nSi la mise à jour est déjà effectuée (date postérieure à juin 2007) : nous invitons les musicologues, les compositeurs (ou leur éditeur) à nous signaler toute erreur ou omission importante. Elle sera corrigée, dans la mesure du possible, au cours du trimestre suivant. De même, nous les invitons à nous faire connaître leurs œuvres nouvelles, en mentionnant tous les éléments nécessaires à la création d’une fiche œuvre nouvelle.\r\n\u003C/p>\r\n\u003Cp style=\"text-align: justify;\">\t\t\r\nSi la mise à jour n’est pas encore effectuée (indication : « mise à jour à venir ») : Les compositeurs peuvent nous signaler des erreurs ou omissions importantes. Ces indications seront prises en compte au moment de la mise à jour à venir. Un compositeur peut également demander le retrait de sa biographie dans l’attente de la mise à jour.\r\n\u003C/p>\r\n\u003Cp style=\"text-align: justify;\">\r\nPour cela : \u003Ca href=\"mailto:brahms-contenu[at]ircam[dot]fr\">écrire\u003C/a> à l’administrateur de publication\r\n\u003C/p>\r\n",{"id":14,"url":15,"titleFr":16,"titleEn":11,"contentFr":17,"contentEn":11},"a3cd05aa-3447-487a-b4fc-213ba0f77e6b","/copyrights/","Mention Légale","La reproduction de contenus de ce site Web, en tout ou partie, est formellement interdite sans la permission écrite de l'Ircam. Les textes, images, logos, codes sources sont la propriété de l'Ircam, ou de détenteurs avec lesquels l'Ircam a négocié les droits de reproduction à sa seule fin d'utilisation dans le cadre du site Brahms. Tout contrevenant s'expose à des poursuites judiciaires. ",{"id":19,"url":20,"titleFr":21,"titleEn":11,"contentFr":22,"contentEn":11},"9162642e-ea99-48c3-8d3b-2dc2a3f8ba45","/repertoire/about/","Projet Répertoire Ircam","\u003Cp>Le Projet Répertoire Ircam est une collection d’analyses musicales en ligne d’environ 70 œuvres crées à l’Ircam et considérées comme représentatives de la culture de l’institut tant sur le plan artistique que technologique.\u003C/p>\r\n\r\n\u003Cp>Ce projet a débuté en 2006-2008 avec la création d’outils auteurs mises en œuvre par le département Interfaces Recherche/Création en collaboration avec le secteur recherche de l’institut. Les premières analyses ont été mises en ligne fin 2010 et il est prévu que la collection s’élargisse à un rythme de deux ou trois nouvelles analyse par an.\u003C/p>\r\n\r\n\u003Cp>Plusieurs objectifs sont poursuivis par ce projet :\u003C/p>\r\n\r\n\u003Cul>\r\n\t\u003Cli>faire connaître les œuvres produites à l’Ircam à un public plus large,\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>montrer la relation entre l’idée musicale et les technologies utilisés,\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>identifier les nouveaux éléments du vocabulaire musical qui émergent à travers ces œuvres,\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>offrir un support d’information aux interprètes.\u003C/li>\r\n\u003C/ul>\r\n\r\n\u003Cp>Chaque analyse est structurée en trois parties :\u003C/p>\r\n\r\n\u003Col>\r\n\t\u003Cli>description générale de l’œuvre,\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>analyse des extraits de l’œuvre avec mise en relation de l’idée musicale et de l’écriture électronique,\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>la liste de ressources spécifiques (type de problème musical abordé, technologies utilisées, œuvres abordant le même type de problématique) et générales (biographique, historique, technique).\u003C/li>\r\n\u003C/ol>\r\n\r\n\u003Cp>Les analyses seront également mises en relation avec :\u003C/p>\r\n\r\n\u003Cul>\r\n\t\u003Cli>Brahms : une base de données encyclopédique en ligne de compositeurs de musique contemporaine de toutes les nationalités dont les œuvres ont été créées après 1945. Cette base contient actuellement environ 600 références. Pour chaque compositeur, il y a une partie biographique accompagnée des sources d’information, et une autre partie qui situe l’orientation esthétique, les phases principales et le contexte historique de l’œuvre.\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>Images d’une œuvre : une collection des interviews filmés des compositeurs.\u003C/li>\r\n\t\u003Cli>Sidney : une base de données qui contient les éléments techniques (programmes informatiques, sons etc. ) nécessaires pour l’exécution de l’œuvre.\u003C/li>\r\n\u003C/ul>\r\n\r\n\u003Cp>A plus long terme, les analyses des nouvelles œuvres créés à l’Ircam viendront se rajouter au corpus donné dans l’annexe citée ci-dessus.\u003C/p>",{"data":24},{"numericDocumentBySlug":25},{"id":26,"slug":27,"title":28,"titleEn":11,"textFr":29,"textEn":11,"source":30,"publishingStartDate":31,"authors":32,"copyrights":37},"3f772879-8ffa-4fea-9487-bad92e30524c","fr-symphonie-des-nouveaux-mondes.-un-portrait-de-gabriella-smith","Symphonie des nouveaux mondes. Un portrait de Gabriella Smith","\u003Cp>Point Reyes et ses falaises abruptes. La pointe de la « nouvelle Albion », à une heure et demie de San Francisco. On y respire l’air salé et on y goûte le pépiement d’une faune riche, où se croisent autant de grèbes à bec bigarré que de milans à épaulettes noires. Tel est le décor idéal pour Gabriella Smith, qui fréquente l’endroit tout au long de son adolescence. Elle n’y passe pas simplement des vacances au bord de la mer, non, elle est là pour y rencontrer ses héros. Qui sont-ils ? Des biologistes. La jeune Gabriella se rêve ornithologue, ou scientifique, ou activiste, qu’importe. Seul compte le lien fort avec l’environnement, pour la défense d’un vivant saccagé par l’Homme. Toutefois, à l’époque, elle pratique déjà la musique, le violon, son premier amour, qui initiera sa passion pour les instruments à cordes. Depuis l’âge de sept ans, elle joue, et compose aussi. Mais son esprit scientifique a du mal : comment faire de la musique sans comprendre de quoi est fait ce qu’elle joue ? Et, plus que comprendre, il faut faire. Il faut expérimenter, organiser, étendre, rogner, jouer avec la matière, assembler et défaire, refaire encore le puzzle.\u003Cbr>C’est sans doute de cette volonté d’expérience que la musique de Gabriella Smith tire son organicité. Il y a toujours une énergie cinétique dans tout ce qu’elle écrit ou, plutôt, un mouvement respiratoire, comme un poumon sonnant. Cette respiration, on l’entend bien dans le début de sa pièce Maré, pour petit ensemble, qu’elle écrit à destination du collectif new-yorkais YMusic. Cela débute dans un souffle, dans le bruit de l’air et de l’eau. Bruissant. Puis, en général, la musique de la compositrice se déploie en deux univers distincts. D’un côté, un aspect très rythmique et hyperactif, à l’instar de la vivacité des oiseaux et de leurs mouvements fébriles : on en a une bonne image dans son « tube », l’emblématique Carrot Revolution, pour quatuor à cordes, une œuvre à la frontière de tous les styles, croisant autant le minimalisme pulsé d’un Steve Reich que le jeu déglingué du banjo, entremêlé de mélopées médiévales façon Pérotin ; une œuvre qui a d’ailleurs séduit le grand Steve himself, dès la première écoute. Chez Smith, ces passages rapides sont souvent gorgés de modes de jeux, c’est-à-dire de sonorités étranges et grinçantes - des moments hérités de sa pratique du violon, à n’en pas douter.\u003Cbr>Cependant, il y a aussi de grandes élégies dans sa musique, de longues mélodies comme des fils tendus, soutenus par de graciles notes pincées dans l’extrême grave, qui évoquent bien un John Adams, lui aussi fier citoyen de la baie de San Francisco. D’ailleurs, Adams apprécie et soutient la jeune garde. Il dirige même un programme dédié aux jeunes compositeurs, non pas à San Francisco, mais plus au sud de la côte Ouest, à Los Angeles. Lorsque la jeune Gabriella Smith s’inscrit à ce programme, elle compose pour l’occasion une œuvre... inspirée par les oiseaux de la baie de Point Reyes : Tumblebird Contrails. C’est une pièce étourdissante, virevoltante, remplie de sonorités de tous ordres, comme un organisme en mutation constante. Et autant dire que pendant les répétitions, les musiciens du Los Angeles Philharmonic furent sous le charme, galvanisés par la partition ! À tel point que plusieurs d’entre eux rendirent visite à l’administration de l’orchestre peu après, afin de demander une commande officielle à la jeune compositrice. Adams raconte n’avoir jamais rien vu de tel dans sa carrière.\u003Cbr>Il est vrai que la musique de Smith est électrisante. Sans doute par son côté organique. Elle est sentie de manière presque instinctive, naturelle. Sa méthode pour composer est la même pour toutes ses œuvres, qu’il s’agisse d’un quatuor à cordes ou d’une grande œuvre d’orchestre. Elle joue d’abord au violon les parties de cordes, expérimente les modes de jeux. Elle enregistre. Puis elle se met à chanter les parties de vents, autant bois que cuivres. Enregistrement encore. Enfin, entre humour et archaïsme, elle empoigne ses plus beaux pots de fleurs et ses plus sonnantes casseroles pour imaginer les parties de percussions. Nouvel enregistrement. Une fois cette super-démo capturée, cette « particelle » des temps modernes, elle transcrit, ajuste l’écriture et les équilibres. Tout part donc d’un geste originel, de l’instinct de la performance.\u003Cbr>La performance, le jeu sur scène, voilà qui est capital pour Gabriella Smith. Elle a d’ailleurs donné récemment, à la Philharmonie de Paris, son cycle Lost Coast, défendu par le violoncelliste Gabriel Cabezas et par elle-même, à la voix. Entre chansons hyper-produites et compositions contemporaines ultra-raffinées, les morceaux de Lost Coast empiètent sur les cases et les genres, dans un joyeux fouillis stylistique qui nous happe comme un jeu d’enfant. Amusant de voir que la musicienne a transcrit et adapté certains morceaux de cet album, pour les transformer en un véritable concerto pour violoncelle, à destination du Los Angeles Philharmonic. Jouer avec les codes avec humour, titiller l’histoire de la musique, c’est aussi ce que l’on entend dans ses Brandenburg Interstices, où Bach est revu à la sauce irrévérencieuse de la pulsation folk la plus acide. Utiliser tous les matériaux en un seul et unique univers, c’est le credo de Gabriella Smith. L’environnement pour guide, mais pour exprimer l’indicible. Qui, hormis elle, aurait osé un Requiem pour les huit voix de Roomful of Teeth, où le texte traditionnel de l’office serait remplacé par les noms latins des espèces animales disparues depuis cent ans ? L’idée est immense, et s’écoute comme on entendrait le peuple des forêts et des plages. Comme une brise, une rumeur s’amplifiant. Au cœur de notre monde.\u003C/p>\n","\u003Cp>Programme du Festival Présences 2024 de Radio France.\u003C/p>\n","2024-02-11T00:00:00.000Z",[33],{"firstName":34,"lastName":35,"slug":36},"Thomas","Vergracht","thomas-vergracht",[],["Reactive",39],{"$si18n:cached-locale-configs":40,"$si18n:resolved-locale":46,"$snuxt-seo-utils:routeRules":47,"$ssite-config":48},{"fr":41,"en":44},{"fallbacks":42,"cacheable":43},[],true,{"fallbacks":45,"cacheable":43},[],"en",{"head":-1,"seoMeta":-1},{"_priority":49,"currentLocale":53,"defaultLocale":54,"description":55,"env":56,"name":57,"url":58},{"name":50,"env":51,"url":52,"description":50,"defaultLocale":52,"currentLocale":52},-3,-15,-2,"en-US","fr-FR","Ressources IRCAM est une plateforme de ressources musicales et sonores, développée par l'IRCAM, pour les artistes, les chercheurs et les passionnés de musique.","production","Ressources IRCAM","https://ressources.ircam.fr",["Set"],["ShallowReactive",61],{"/numericDocument/fr-symphonie-des-nouveaux-mondes.-un-portrait-de-gabriella-smith":-1,"flat pages":-1},"/en/numericdocument/fr-symphonie-des-nouveaux-mondes.-un-portrait-de-gabriella-smith"]